ALAN (Artificial Light At Night)

Équipe de recherche

LEHNA - Nathalie Mondy (Physiologie) - Université Lyon 1
LEHNA - Thierry Lengagne (Ecologie) - Université Lyon 1
LEHNA - Jean Secondi (Ecologie) - Université Lyon 1
LEHNA - Sara Puijalon (Ecologie) - CNRS
LBBE - Isabelle Amat (Modélisation) - Université Lyon 1
CRNL - Claude Gronfier (Physiologie) - INSERM
EVS - Thierry Joliveau (Géographie physique) - CNRS
EVS - Philippe Billet (Droit) - Université Lyon 3
LBBE - Emmanuel Desouhant (Ecologie) - Université Lyon 1

Informations pratiques

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2016 - ? (En cours)

payments

> 300 000 €

Financement(s) :

Plan d’Investissement d’Avenir France 2030 (EUR, EUL et Labex)

Labex IMU
IDEX Lyon

ANR

ANR

Collectivités

Département de l'Isère

Etablissements publics à caractère scientifique

Fonds propres
FR Bioenvis
CNRS

Méthodologie

Approches

Laboratoire • Mesure de terrain

Compartiments

Ville • Zone humide • Bassin versant

Zone(s) étudiée(s)

Norvège • France (Normandie, Rhône, Isère, Ain) • Italie

Mundheim (Norvège)
Normandie
Rhône
Isère
Ain
Corleone (Italie)

Nombre de thèses : 2

Nombre de Masters : 2

La pollution lumineuse due à l’augmentation de l’éclairage artificiel nocturne lié au développement de l’éclairage nocturne des villes et des infrastructures de transport, a considérablement augmenté cette dernière décennie. L'exposition des organismes à la lumière nocturne découple le rôle régulateur de la photopériode naturelle sur les organismes et, via une dérégulation du système de synchronisation circadien, affecte de nombreuses fonctions physiologiques (activité, reproduction, sécrétion hormonale…) mais aussi le comportement des animaux, leurs traits d’histoire de vie et même le fonctionnement des écosystèmes. Un des axes de recherche de ce projet concerne les écosystèmes d'eau douce qui sont très souvent exposés à la lumière artificielle nocturne puisque les activités humaines se concentrent souvent le long ou à proximité des lacs, rivières... A ce titre, nous avons (i) quantifier et cartographier la pollution lumineuse réelle subit par les organismes et (ii) montré qu’elle affecte le comportement (activité et reproduction), le métabolisme énergétique et même l’expression des gènes des amphibiens qui sont l’un des groupes les plus menacés par l’effondrement de la biodiversité. Nous développement actuellement deux nouveaux axes d’étude consacrés à l’impact de la pollution lumineuse sur l’immunité chez les amphibiens mais aussi sur les communautés de plantes aquatiques.

Thèses :
- Morgane Touzot : https://theses.fr/2020LYSE1308?domaine=theses

Autres partenaires

Académiques

Université de Toulon (Génie électronique, Informatique)
Université de Montpellier (Biologie)
Université de Strasbourg (Biologie)
Université de Dijon (Biologie)
Université de Toulouse (Biologie)
CNRS de Moulis (Biologie)
Italie - Université de Palerme (Biologie)
Costa Rica - Station biologique de la Selva (Biologie)
Université d'Angers (Géographie physique)

Praticiens

Bureau d’étude & entreprises

Dark Sky Lab

Etablissement public

Museum de Bergen

Thématiques

Aménagements urbains et hydrauliques

Urbanisation

Biodiversité

Erosion biodiversité
Faune
Continuité écologique
Végétal

Risque

Pollution lumineuse

Mode de vie

Socio-hydrosystèmes

Politique – gouvernance

Anthropocène